La nature même du marché du coaching soumis à des effets de mode rend les entreprises et les particuliers très friands d’outils car la logique de l’outil est rassurante. Elle accrédite l’idée mécaniste qu’il existe un outil ou une méthode, donc un spécialiste qui permet de trouver la solution. Pourtant, s’il y a bien un spécialiste, c’est le coaché. Et celui qui trouvera la solution, c’est lui. J’insiste sur le fait que l’outillage n’est pas une fin en soi mais uniquement un moyen, toujours utilisé au cas par cas pour nourrir la discussion ou faire prendre conscience, pour procéder à la maïeutique qu’est le coaching.

J’utilise aujourd’hui principalement des outils inspirés de la psychanalyse, de la psychologie du travail, de la Communication Non-Violente. Le questionnement (ouvert et non-directif) étant parmi les outils celui qui est largement utilisé.